Les
tambours n'en finissent pas de résonner, mais cette fois ils
voudraient battre un autre rappel...
Louis,
le batteur solitaire, personnage central du roman, est un révolté
qui déclenche chez ses auditeurs des feux intérieurs qui durent et
chauffent toute une vie.
Un de
ces feux au moins - mais il y en a d'autres -, celui qui s'était
allumé en moi, s'est propagé à l'extérieur, sous la forme de ce
roman, et continue de brûler, je l'espère, quand les pages se
tournent, ou quand les comédiens du Grand Asile lui donnent vie dans
leur spectacle Syncopes.
D'autres
tambours voudraient se mettre en marche, maintenant, et battre cet
autre rappel, dans les rues, sur les places,
oyez,
oyez, bonnes gens, disait-on jadis dans les BD de mon enfance, ou
dans les films historiques,
oui,
oyez bonnes gens, mais oyez aussi, vous, nos élus, nos dirigeants,
comme on dit, car
en fait de direction, il n'est pas impossible que celle que vous voulez nous faire prendre nous mène
droit dans le mur...
oyez
donc, je vous écris cette lettre ouverte sous la forme de ce petit
livre
Non,
ne faites pas la moue... ce texte n'est pas un texte partisan, il
s'adresse à tous ceux qui font de la politique leur métier ou leur
idéal, toutes tendances confondues, mais aussi, bien sûr, à nous
tous, les électeurs, qui décidons de leur destin.
Un
texte citoyen, en somme, qui revisite le sens du mot "démocratie"
et de la fonction politique. Il n'est à situer ni à gauche ni à
droite, mais bien au centre, une sorte de "centre absolu",
ou ...oserais-je le dire d' "extrême-centre"!
Avant toute autre velléité de
progrès, il s'agit en effet de remettre les pendules à l'heure.
Le
livre est paru aux Éditions du Cerisier. Pour vous rendre sur le
site, cliquez sur le titre.
http://editions-du-cerisier.be/spip.php?rubrique20